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  • L'immobilier à Perpignan durant le Festival VISA pour l'image

    Au coeur de Perpignan, le pouls de l'actualité s'apprête, une fois encore, à vibrer. Chaque 8 septembre, Visa pour l'image ouvre ses portes au public. Vingt années d'engagement et de découvertes méritaient d'être fêtées de façon exceptionnelle et c'est avec une même passion que chaque édition est lancée, attachée à montrer, dénoncer et dialoguer. Et bien sur la question de la location immobilière pour accueillir le public étranger de photographes, journalistes et touriste se pose...

    Zoom sur le  Festival VISA à Perpignan

    Si la photographie continue de faire des émules et de passionner les foules, le monde de la presse traverse une crise qui menace financièrement et artistiquement les métiers qui gravitent autour d'elle. Sachant que le métier participe autant de la technique photographique que de la compréhension des enjeux pour en donner une perspective enrichissante, le problème du photojournalisme est double. C'est d'ailleurs à cette situation critique qu'est dédié le colloque organisé cette année autour des trois questions "Crise du photojournalisme, crise du journalisme, crise de l'information ?", "L'image, dans la manière dont elle est utilisée, est-elle encore porteuse d'information ?", "Transmet-elle encore un savoir ?" Le constat est pour le moins alarmant, Jean Lelièvre, tête pensante des débats du festival, l'avoue sans détour : "Les milliers d'images qui nous sont proposées à Visa pour l'image (…) sont, depuis ces deux ou trois dernières années, de plus en plus aseptisées, uniformisées et pour tout dire, sans intérêt". Dans un tel contexte, chaque édition se doit de donner un véritable sens au photojournalisme.

    Au niveau Immobilier, l'accueil des festivaliers de VISA pour l'image

    Et chaque année c'est 10 000 festivaliers qui viennent à Perpignan; et autant de nuités. Donc la location saisonnière d'appartement est devenu un business à part entière dans la cité Catalane.  Pour les habitants de Perpignan, c'est l'occasion parfaite de profiter du boom de la location saisonnière et de l'immobilier dans la région. Grâce à la popularité croissante du festival, la demande de logements temporaires à Perpignan est en constante augmentation. Les propriétaires ont ainsi l'opportunité de rentabiliser leur bien en le mettant en location pendant la durée du festival. Que ce soit un appartement en centre-ville, une maison de campagne ou une villa avec piscine, les possibilités d'investissement sont nombreuses.

    Beaucoup d'appartement sont ainsi réaménagés par une  entreprise de rénovation de Perpignan , justement pour accueillir ce flot de touriste évènementiel : ce sont en particulier les vieux appartements  de Saint Mathieu (au centre historique et proche des lieux d'exposition du festival) qui sont souvent rénovés  ou du quartier La Real où toute l'année on voit des artisans refaire des salles de bains ou repeindre entièrement des biens immobiliers destinés aux festivaliers.

    D'autres quartiers, plus excentrés comme las Cobas (quartier résidentiel) , ou le Moulin à Vent, sont aussi loués aux festivaliers durant les 10 jours .

    Niveau tarif il faut compter 100€/jour et par personne à St Mathieu ou La Real et un peu plus dans les autres quartiers de la ville. Et le clientèle qui occupe ces appartements est largement internationale : espagnols, Argentins, Italiens...

    Donc, en plus de la location saisonnière, investir dans l'immobilier à Perpignan pendant le festival VISA pour l'Image peut également être une décision judicieuse à long terme. La renommée internationale de l'événement attire non seulement des visiteurs chaque année, mais contribue également à la notoriété de la ville et à son attractivité touristique.

    La réalité sans fard

    Une dimension qui prend son sens quand on sait à quel point Visa pour l'image s'engage à dévoiler la sordide réalité d'un monde émaillé de conflits et de violence. Souvent critiqué pour ce parti pris radical, le festival n'en poursuit pas moins sa ligne directrice tenant à l'honnêteté de l'image, qui bien souvent, n'en est que plus crue. Aux limites de l'insoutenable dans certains cas, elle participe pourtant de la réputation de Visa pour l'image, qui s'est toujours tenu au respect de sa ligne éditoriale faite d'exigence, de rigueur et d'engagement.

    On trouve ainsi, parmi la trentaine d'expositions, un accrochage d'Enrico Dagnino, 'Violence postélectorale au Kenya' qui revient sur l'horreur des massacres entre partisans des différents mouvements ou encore 'La Vida loca' de Christian Poveda, qui plonge dans le quotidien des Mara, ces gangs dont la violence terrorise toute l'Amérique centrale. De même, la participation historique de David Douglas Duncan donne l'occasion de découvrir ses clichés réalisés lors de la guerre de Corée qui apparaissent aujourd'hui comme des classiques du photojournalisme. Sur la corde, son témoignage poignant souligne la terreur d'une guerre vécue de l'intérieur, où les images se font vecteurs d'une émotion intense, instants figés et flottants d'une destruction en mouvement.

     

    festlival VISA pour l'image de Perpignan : https://www.visapourlimage.com/

     

  • Guide du crédit – 3– Les principales garanties - fin

    4. Les assurances

    Les assurances vous seront toujours imposées lors de la souscription d’un prêt auprès d’un organisme financier. Ces assurances permettent de couvrir les besoins de l’emprunteur en cas de sinistre.
    Il y a deux principales assurances :

    a. L’assurance décès-invalidité

    Celle-ci protège l’emprunteur d’une perte brusque de ses revenus suite au sinistre et se charge d’éponger les dettes de la personne si celle-ci décède, afin que sa descendance n’ait pas à en pâtir.
    Souscrire à une assurance revient à faire des cotisations suivant des modalités décidées avec l’organisme emprunteur.
    Ces cotisations se font :

    • soit sur le capital emprunté (le taux de la prime décès-invalidité est appliqué sur la somme prêtée et la mensualité est constante),

    • soit sur le capital restant dû (le taux de prime s’applique sur la somme que l’emprunteur doit encore et la mensualité est généralement dégressive avec le temps).

    b. L’assurance chômage

    Cette assurance facultative se charge de régler vos mensualités si jamais vous vous retrouvez sans emploi. C’est la banque prêteuse qui propose généralement cette souscription et il faut faire attention aux closes qu’elle renferme. Son coût est généralement très élevé et il faut être vigilant par rapport à la durée de la période de carence pendant laquelle l’assurance ne sera pas active, mais aussi par rapport au temps pendant lequel elle se chargera des échéances de prêt.

    NOS CONSEILS

    Comme vous avez pu le voir, il existe de nombreuses possibilités de crédits immobiliers, assortis de nombreuses garanties. Comment choisir ?
    Pour votre prêt, essayez d’obtenir le plus de prêts aidés possible, ils sont souvent cumulatifs et plus intéressants que les prêts bancaires. Vous prendrez un prêt bancaire pour la somme restante à financer.
    Pour les garanties, soyez attentifs aux coûts et aux modalités d’application de ces garanties. Il n’y a pas une meilleure garantie qu’une autre, cela dépend de votre situation et de vos besoins. Votre banquier saura vous aider à choisir la formule la plus appropriée.

    Vous avez maintenant toutes les infos pour aborder votre recherche de financement en toute sérénité. Et surtout gardez à l’esprit que votre conseiller bancaire a un devoir d’information, donc n’hésitez pas à lui poser TOUTES les questions possibles.
    Ne contracter un crédit que lorsque vous êtes sur des 4 points suivants :

    • La durée du crédit

    • Le montant des mensualités ? Fixe ou variable ?

    • Les autres frais possibles ? (type : remboursement anticipé)

    • Quelles sont les garanties associées ? Et leurs modalités d’application ?

  • Guide du crédit – 3– Les principales garanties

    Suite aux deux précédents articles présentant l’offre de prêt, ainsi que les différents types de crédits envisageables pour votre achat immobilier, voici une troisième partie sur les principales garanties qui vous seront proposées lors de la souscription de votre prêt immobilier.

    LES GARANTIES :

    Il existe plusieurs types de garanties associées aux différents prêts que proposent les organismes financiers. Ces garanties peuvent être cumulées selon certaines conditions. Voici les différentes garanties que l’on vous proposera :

    1. La caution

    On parle de caution lorsque qu’un tiers s’engage à rembourser le crédit à la place de l’emprunteur si celui-ci ne peut plus honorer le remboursement de sa dette. Il existe deux grandes catégories de cautionnement :

    • Le cautionnement solidaire : Cautionnement par une personne physique qui devient solidaire du paiement de la dette de l’emprunteur.

    • Le cautionnement mutuel (pour un pret immobilier de 35 ans) : Cautionnement par des organismes financiers. Leur service coûte environ 3% du montant du prêt. En échange de cette somme, l’organisme s’engage à régler votre dette si vous ne pouvez plus le faire. Par la suite, si vous ne pouvez pas rembourser l’organisme, il pourra vendre vos biens pour se dédommager.

    2. L’hypothèque

    Le prêteur obtient un droit sur un bien immobilier de l’emprunteur. Ce droit garanti le remboursement de sa dette et doit être constaté par un acte notarié. L’emprunteur continue toutefois de jouir de son bien et peut y prendre plusieurs autres hypothèques. Mais s’il ne peut plus payer le remboursement de son crédit, le prêteur a désormais le pouvoir de vendre ce bien pour se rembourser.
    Les frais d’hypothèques atteignent environ 2% du montant du prêt. Si le propriétaire du bien décide de le vendre, il procèdera à une « mainlevée » de l’hypothèque sur le bien et paiera des frais avoisinant les 1% du montant du prêt.

    3. IPPD (Inscription au privilège de prêteur de deniers)

    Cette inscription représente une garantie pour un établissement bancaire qui y souscrit. Elle lui permet de se protéger contre les risques de non remboursement auxquels il fait face en prêtant de l’argent. L’IPPD est à l’instar de l’hypothèque un acte obligatoirement notarié. Toutefois, cette inscription ne garantie toutefois pas le financement d’une acquisition en construction, parce que le bien doit être terminé au moment de l’inscription.
    L’IPPD fonctionne sur le même principe que les autres garanties, il confère un droit au prêteur sur le bien immobilier de l’emprunteur.

  • Les grandes lignes du plan logement de Cécile Duflot

    Crise de l’immobilier : les propositions de Cécile Duflot

    Cécile Duflot vient de présenter son plan pour lutter contre la crise du logement devant le Conseil des ministres. Son objectif: atteindre le chiffre de 500.000 nouvelles habitations par an  . La ministre du Logement compte en premier lieu simplifier la conversion des espaces vacants en habitations.

    Réquisitionner les bureaux inutilisés

    Sur le territoire français, Cécile Duflot estime que les bureaux vacants représentent 5 millions de mètres carrés à disposition, dont la moitié se situe en région francilienne. La ville de Paris a par ailleurs déjà commencé à convertir ses bureaux vides en habitations.

    Mises en chantier: lutter contre les recours injustifiés

    Une autre mesure proposée par la ministre du Logement visera à éviter le blocage des projets immobiliers par des recours malveillants ou injustifiés. Ces plaintes contre les permis de construire sont déposées dans le seul but de retarder les mises en chantier, parfois dans un but lucratif. Environ 25.000 logements par an voient ainsi leur projet bloqué, dont 5.000 sont situés à Marseille.

    Exploiter l’espace urbain

    Autres initiatives de la ministre: construire des immeubles plus hauts d’un ou deux étages et densifier les zones pavillonnaires. Une autre mesure proposée est la construction de « dents creuses » : des immeubles d’un ou deux étages placés entre deux édifices plus hauts. Cécile Duflot propose aussi de faciliter la création de parkings.
    Le temps presse, en période de crise: ce plan logement sera donc examiné par le Conseil d’État dès la mi-mai. Grâce à une procédure législative accélérée, les premières mesures devraient être appliquées dès cet automne.